Coucou mes patates du monde entier !!
Aujourd'hui p'tite suite d'un duc !
Je partis dans mes appartements et dormis jusqu'à ce que une voix parvînt à mes oreilles.
"William ! Réveil toi !
J'ouvre partiellement les yeux et vois ma sœur en pyjama.
-Qu..quoi ?
Répondis-je en somnolant
-J'ai rêvé que je me mariait de force à notre cousin !
Je sors de mon lit, la pris dans mes bras et lui murmure délicatement
-Chuttttttt
-Je peux dormir avec toi ?
Me demande-t-elle en pleurant.
-Mais on va se faire disputer ma grande !
-M'en fiche !
-Alors vient là"
Je m'allongeai sur mon dos mit ma couette et elle se coucha à ma droite, se colla à moi puis elle m'enroula le bras. Je me redormis rassurer qu'elle fut ici et non mariée.
Le matin je me levai car j'entendis toquer:
"Entre !
Dis-je en souriant car je sens ma sœur dormir à côté. Madeleine entre
-Tu as vu ta sœur ? Elle a disparu !
-Viens voir.
Répondis-je en chuchotant. Elle regarde Marie et sourit.
-Elle est tellement mignonne ! Je vais prévenir tout le monde qu'elle est avec toi et qu'il ne faut pas vous dérangez car tu lui lis un livre.
-Merci Madeleine !
-Je le fais pas pour toi mais pour Marie."
Lorsqu'elle partis les cris dans la maison se stoppèrent. Je pris le livre sur ma table de chambre et commençai à lire grâce à la lumière du jour.
Et ma mère entra en claquant la porte. Ma sœur se réveilla en sursaut et sera mon bras plus fort. Ma mère cria:
"William ! Pourquoi votre sœur est dans votre chambre ?
-Chut mère ! Marie dort. Elle fit un horrible rêve durant la nuit.
-Quel vienne voir la gouvernante
-Elle est froide et méchante avec elle !
-Je m'en fiche ! Bon allez au repas après vous êtes préparé."
Ma mère partis. Je laissai ma sœur qui c'est rendormie après avoir enlevé mon bras avec difficulté. Je me mis dans mes appartements, fermai à clé. Me vêtit de mon costume. Je retournai dans ma chambre, la chatouillai pour la réveiller. Puis la portai sur mon dos et l'amenai dans sa chambre. Je lui demandai de se changer. Elle partis en râlant dans son dressing. Elle vint me rejoindre, nous arrivâmes dans le petit salon. Nous prîmes un gâteau aux pomme. Je la déposai à l'église pour la messe. Elle me demanda de l'accompagner, ce qui fût un non catégorique. Je lui embrassai le front et partis vers mon atelier après avoir salué Madeleine.
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