Coucou mes patates !!!
Voici la 2° partie de mon texte !
Cette après-midi fut la plus agréable de mes longs jours. Je rentre me souviens de ce qu'elle m'a dit et elle a raison. Je ne comprends pas forcément cette religion. J’eus affaire à une magnifique femme, courtoise et avec du caractère.
J'aimerais passer mes jours comme elle. Les devoirs de la cour sont d'un ennuie. Je rentre dans le château, me change avec mes vêtements de nobles, planque mes habilles sous une latte.
Ensuite je descends au salon et ma tante me dis:
"-Mon cher neveu ! J'ai enfin trouvé une femme pour vous tenir compagnie.
-Je me concentre sur mes plantes. Lui répondis-je sèchement.
-Elle répliqu. Mais vos plantes son inutile
-Je ne vous permets point !"
Je sortis de mes gonds et partis dans mes appartements.
Je croisai Madeleine.
"-Bonjour ! Avez-vous trouvez de belles plantes ?
-Madeleine pour l'amour du ciel, tutoie-moi!
-Mais mon cher, votre mère. Si elle l'apprend je n’aurais plus de tête.
Répond-elle en mimant une grimace.
-Alors, allons parler dans mon salon
Elle acquiesce en souriant. Nous entrons dans la pièce. Elle s'agenouille et ouvre la latte qui cache ma tenue de cette après-midi.
-Je vais v..te la laver. Depuis quand les troues sont réparés ?
-Une forte aimable paysanne me l'a cousu
-Une dame des champs ?
-Exact ! Sais-tu où se trouve ma tenue de soirée ?
-Je l'ai déposé sur le côté de ta chaise, comme toujours.
-Merci très chère !
-WILL ! Je ne suis pas une duchesse. Ne me parle pas comme cela !
-Mais tu es ma meilleure amie !
Je commence à la chatouiller pour l'embêter, elle cache son rictus, se tord pour échapper a mes chatouilles et me répète.
-Même tu n'as pas le droit, je suis une fille du peuple et toi de bonne famille.
-C'est nul, je peux plus t'embêter ! Lui répondis-je
-C'est tellement dommage ironise-t-elle en levant les yeux au ciel."
Je lui fis une bise sur la tempe pour l’embêter. Et elle me donna un bon coup de poing au visage.
"-AIIIIE !
-Bien fais ! Allez, bon gala ! Du-coup je te rends tes vêtements demain au souper..
-Demain matin c'est possible ?
-Nan très cher ! Je peux juste demain au souper.
-Toi aussi tu as dis très cher ! Et laisse-le-moi je le laverai un autre jour.
-Toi tu es noble !Et profite de la soirée Will !
-Oui Madeleine,dis-je en la voyant quitté mes appartements."
Je me vêtis, descendis puis pris le pas vers le bal.
J'ouvris la porte. Vint voir Gustave, nous parlâmes et une belle damoiselle vint vers nous. Elle me sourit et me savoir qu'elle veut une danse. J’acquiesçais car je n'avais le choix comme à chaque fois.
Au bout d'au moins 3 quarts d'heure, je pris quelques amuse-bouche, les mis dans mes poches tel un voleur. Je sortis dehors, je vidai la nourriture dans le panier que je remets soigneusement à Madeleine. Elle me remercia, met son voile sur ses cheveux et repart.
Je reste un peu dehors pour être loin de la foule. Et je vois Gustave et sa chère Pauline (sa femme). Leur amour est impressionnant. C'est le seul mariage d'amour chez les nobles de la région. Ses jeunes mariés ont quand même un problème. Pauline n'arrive pas à avoir un enfant. Ils essayent depuis 1 an mais rien. Pauline voulait à tout prix porté leur enfant. Mais elle se rendit bien compte qu'elle ne pourrait pas porter leur enfant dans son ventre. Gustave était là pour elle et il lui a promis de ne jamais aller voir ailleurs.
Gustave et Pauline se mirent à coté de la fontaine. Quand j'ai vu qu'il passait du bon temps tous les deux, je ne voulais pas les gêner donc je partis en direction de la grande réception.
A mon entré, je vis un dès mes domestiques se faire injurier par le Duc voisin. Il allait le frapper mais je m'interposai en prenant une forte voix.
"-Seigneur ! Pourquoi m'avait vous frappez ? En plus ICI dans ma propre demeure
- Désolé, ce n'était point pour vous...
-Sachez que c'est honteux mon cher. Pour la peine, je rentre dans mes appartements !"
Il dit une chose que je n'écoutai pas et montai très fière de mon moment théâtral. J’entrais enfin dans mon atelier de menuiserie, mis un tissu mouillé pour me couvrir le visage et me protéger des copeaux de bois. Je racla le bois et commença à donner une forme à ma sculpture. Quand je me mis à bailler. Je me retira de mon atelier. Je fit ma toilette et m'installa dans mon lit.
Coucou mes patates !!
Voici la partie 2 d'un duc ?
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XXXXXX
Cloclo !